Dans un excellentissime article publié sur le site Internet du journal Le Temps, Christian Despont signe un vibrant compte‐rendu de la finale de l’Open d’Australie. Intitulé « Nadal, le roi tout court », il débute évidemment par les larmes de Roger :
« Aucun homme n’avait versé autant de larmes sur une défaite. Mais ce n’était pas seulement une défaite. En une irruption brutale, incoercible, les sanglots de Roger Federer ont fait rejaillir tout ce que le champion renferme d’exigences pour lui‐même, d’attentes pour sa carrière, et de devoirs envers son don. L’esthète n’est pas devenu hier le plus grand tennisman de tous les temps, et c’est comme si, à cette funeste déconvenue, il avait ajouté sa propre indignation. »
A lire absolument…
Publié le lundi 2 février 2009 à 11:45