AccueilATPLe gros aveu d'Alcaraz : "Je ne pleure pas beaucoup mais j'ai...

Le gros aveu d’Alcaraz : « Je ne pleure pas beau­coup mais j’ai craqué à plusieurs reprises ces dernières semaines. Je suis quel­qu’un qui a plus tendance à pleurer de frus­tra­tion que de bonheur »

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Lors d’une inter­view accordée à l’ATP après avoir remporté à Roland‐Garros dimanche son troi­sième titre du Grand Chelem à seule­ment 21 ans, Carlos Alcaraz a fait une confi­dence sur la période diffi­cile qu’il a traversée en raison de sa bles­sure à l’avant‐bras droit. 

« Je suis quel­qu’un qui a plus tendance à pleurer de frus­tra­tion que de bonheur. Je ne pleure pas beau­coup, mais j’ai craqué à plusieurs reprises ces dernières semaines, lorsque j’ai dû manquer certains tour­nois que j’at­ten­dais avec impa­tience à cause de ma bles­sure (Monte‐Carlo et Rome, ndlr). Mentalement, c’était pénible. Le bras droit sert à tout. J’utilise beau­coup de vitesse et de puis­sance dans chaque coup et mon avant‐bras me faisait souf­frir. J’étais inquiet, pensant que je ne pour­rais pas récu­pérer à 100 %. À Madrid, j’ai joué quatre matches et cela m’a gêné lors du quatrième. Je n’ai pas pu aller à Rome. Nous avons fait des tests et tout ce qu’il fallait pour arriver ici en pleine forme, mais je n’ar­rê­tais pas de me poser des questions. »