On le sait, sur certaines frappes, Carlos Alcaraz peut quelques fois crier très fort et… longtemps.
C’est exactement la raison pour laquelle, à 5 points à 1 dans le tie‐break du deuxième set, Stefanos est allé se plaindre auprès de l’arbitre de chaise, la Française Aurelie Tourtre.
Après le jeu décisif perdu et son passage aux vestiaires, le Grec en a remis une couche mais l’Espagnol n’a pas été averti ou questionné à ce sujet par l’arbitre.
Légitime ou acte de mauvaise foi ?
Publié le mardi 4 juin 2024 à 22:25