Sans chercher une excuse mais parlant d’un adversaire supplémentaire en désignant le vent, Tomas Berdych a également expliqué qu’il lui semblait logique que des règles particulières puissent exister dans un tournoi du Grand Chelem notamment parce qu’il n’y a pas de toit à New‐York.
La raquette de Tomas Berdych, ici !
Publié le dimanche 9 septembre 2012 à 10:34