Lors de son match face à Feliciano Lopez hier, Andy Murray a beaucoup souffert de la température et de l’humidité, très élevées hier à New York. L’Ecossais en profite pour comparer la chaleur américaine à celle ressentie lors de l’Open d’Australie.
« Ce match était un vrai challenge physique. Je me suis senti un peu mieux vers la fin qu’au début. Je n’avais pas beaucoup joué dans ces conditions et il faut le temps de s’y habituer. Normalement, je passe 3 semaines à m’entraîner à Miami avant l’US Open pour m’habituer à ces conditions. Cette année, avec les Jeux, je n’ai forcément pas pu faire ça. Ici, la chaleur est différente qu’en Australie. Mais je vous assure que les deux peuvent être brutales ! En Amérique, c’est peut‐être un peu plus épuisant, déshydratant, quand il y a une humidité pareille. En Australie, il fait encore plus chaud et quand le court devient brûlant, vous sentez vraiment que vos jambes brûlent aussi. Et puis il fait si sec que vous avez l’impression d’étouffer. Ce n’est pas toujours très agréable. Ici comme en Australie, jouer dans cette chaleur est un défi. Cela prend du temps de s’y habituer. »
Publié le dimanche 2 septembre 2012 à 15:47