Alors que l’on est certain d’avoir un Américain en finale ce dimanche, Andy Roddick, le dernier vainqueur « us » d’un tournoi du Grand Chelem (NDLR : A l’US Open en 2003) commence à stresser un peu. En fait il espère vraiment qu’un des leurs puissent soulever le trophée qu’on n’en finisse avec cette forme de malédiction.
« Je n’aimerais rien de plus que la victoire d’un Américain dimanche. Je déteste, ce sentiment d’anxiété à chaque fois qu’ils sont près du but. Je déteste ça pour eux. Je veux qu’ils l’aient, je veux qu’ils gagnent. Et franchement, si l’un d’entre eux casse cette malédiction, ils pourraient tous commencer à se battre régulièrement pour soulever ce type de trophée ».
Publié le jeudi 5 septembre 2024 à 12:22