AccueilUS OpenZverev, qualifié en quart de finale, est hyper zen : "Je sais...

Zverev, qualifié en quart de finale, est hyper zen : « Je sais que certains joueurs s’ils ont leurs parents comme entraî­neurs, ont une rela­tion assez toxiques. Il y a beau­coup de disputes. Il y a beau­coup de choses qui ne sont tout simple­ment pas saines, je dirais. Je dois dire que ce n’est pas le cas pour nous »

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En 8ème de finale, Alexander Zverev a « attendu » un set pour trouver la bonne carbu­ra­tion face à Nakashima (3−6, 6–1, 6–1, 6–2).

Après ce « rodage », l’Allemand a confirmé qu’il était vrai­ment dans le bon timing et qu’il pouvait une fois de plus prétendre à atteindre une nouvelle finale en Grand Chelem.

En confé­rence de presse, hyper relax, il a été inter­rogé sur la problé­ma­tique d’être entraîné par des membres de sa famille. Pour lui, le système mis en place par la famille Zverev est un contre‐exemple de ce qu’il se passe en général.

« En dehors du terrain, je ne passe pas beau­coup de temps avec mon père. Nous sommes assez ensemble sur les courts. Mais nous sommes tous des adultes. Nous avons tous une famille. Nous savons tous comment ça marche. Ouais, je veux dire, j’aime ça parce que ta famille est toujours proche. Tu n’as pas trop le mal du pays peut‐être. Cela dépend de la façon dont se déroule votre rela­tion, je pense, sur le terrain et en dehors. Je sais que certains joueurs, s’ils ont leurs parents comme entraî­neurs, ont une rela­tion assez toxique. Il y a beau­coup de bagarres. Il y a beau­coup de disputes. Il y a beau­coup de choses qui ne sont tout simple­ment pas saines, je dirais.Je dois dire que ce n’est pas du tout le cas pour nous. Nous nous compre­nons dès que nous sortons du terrain, et sur le terrain, il s’agit de s’en­traîner et de s’amé­liorer »