La première question était : C’est quoi le plaisir de coacher, entrainer, enseigner ?
La deuxième : Et le confinement dans tout ça
Sam Sumyk, notre parrain, a donc bien voulu répondre alors qu’il a vécu un confinement mouvementé. En effet, au début de cette crise, Anastasia Pavlyuchenkova avait décidé de cesser sa collaboration avec notre breton préféré.
Sur le plaisir de coacher, entraîner, enseigner ?
Il est permanent, quotidien. Nous sommes des entraîneurs, mais aussi des éducateurs, des « teachers » et parfois des coachs. Tout est intéressant dans l’entraînement, les bons comme les mauvais moments. Cela fait partie du processus, c’est un tout, qui englobe ta relation avec le champion, le partage avec ton team. Ce qui motive, c’est d’avancer tous ensemble vers le même objectif.
Sur le confinement ?
Au moment où nous étions tous à l’arrêt, je n’ai pas eu de coup de blues. J’ai vraiment profité de ce moment de calme et de ralenti pour parfaire mes connaissances et nourrir mon cerveau. J’ai appris quelque chose de nouveau tous les jours sur la haute performance. J’ai aussi beaucoup observé les comportements humains pendant cette période, et j’en arrive à la conclusion qu’avec la nature c’est beaucoup plus simple.
Publié le samedi 18 juillet 2020 à 11:20