Gilles Cervara a résumé en quelques mots bien choisis le problème que pose Carlo Alcaraz à ses adversaires. Ses propos rapportés par notre confrère de L’Équipe confirment que l’Espagnol peut devenir une sorte de mur mental car il propose autre chose que les autres joueurs du circuit.
« Si Alcaraz joue bien, l’espace est vraiment très réduit, voire tu n’as pas d’espace. Ce « pas d’espace » te demande au minimum de jouer ton meilleur tennis. Avoir l’impression de bien jouer sans que ça gêne ton adversaire ça t’impacte moralement. »
Publié le dimanche 14 juillet 2024 à 08:50