Ce Wimbledon est décidément très politique. On savait que la Reine Elizabeth II avait envoyé une lettre à Andy Murray. On sait désormais, également, que Barack Obama a passé un coup de fil à Andy Roddick, après la victoire de ce dernier sur Thomas Berdych, 7–6 6–4 6–3. De quoi donner un coup de fouet à Andy avant de retrouver un vieil adversaire : Lleyton Hewitt.
Publié le mardi 30 juin 2009 à 16:26