Sarah Pitkowski, ancienne championne, aujourd’hui consultante sur RMC, reconnait, après cette finale de Roland Garros, que le manque de patronne sur le circuit féminin desservait la reconnaissance de celui‐ci.
« Il manque quand même une patronne dans le tennis féminin. D’avoir vu les trois premières têtes de série rapidement éliminées, ce n’est pas bon. C’est mauvais pour l’impact médiatique du tennis féminin. Je pense qu’on va vivre encore des mois, voire des années difficiles. »
Publié le samedi 4 juin 2011 à 18:17