Iga Swiatek s’est récemment confiée en compagnie de sa coach mental sur son travail effectué dans ce domaine depuis plusieurs années. Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’elle est fière du chemin accompli même s’il a fallu gravir quelques montagnes.
« Il y a trois ou quatre ans, on disait que j’étais très émotive on m’accusait de pleurer pendant les matchs. Aujourd’hui, je suis considéré comme un modèle de force mentale sur le terrain et je n’ai pas peur de dire que cet avis est bien mérité. Je sais combien de travail cela demande – mon propre travail et celui de Daria (Abramowicz). Cela ne s’est pas produit du jour au lendemain. »
On verra si c’est encore plus le cas lors du tournoi Wimbledon où son mental n’a pas encore fait beaucoup de ravages. On se souvient tous de sa demi‐finale ratée face à Svitolina en quarts de finale de l’édition 2023.
Publié le dimanche 23 juin 2024 à 09:45