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Varvara Gracheva : « Le matin, quand je me lève, jamais je ne me dis que cela va être diffi­cile de m’entraîner, de taper dans la balle. Au contraire, c’est un vrai chemin pour mieux se connaître en tant que femme, mais aussi dépasser ses limites »

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Il y a des belles « rencontres ». L’entretien avec Varvara Gracheva pour le numéro 87 de We Love Tennis Magazine en est la preuve. Positive, simple et enjouée, Varvara a un rapport avec son sport clai­re­ment décon­necté des discours marketés par des agents. Du coup, l’échange est cordiale et sincère, ça change.

Nous vous avons sélec­tionné un passage où elle nous a expliqué sa joie d’aller taper la balle tous les jours. L’entretien en inégra­lité est à décou­vrir dans notre N°87 qui sera dans notre réseau ce lundi.

Rassure‐nous, tu prends du plaisir ?
Énormément, c’est presque comme un rêve. J’aime cette vie. J’aime l’idée du travail bien fait et j’estime qu’au tennis, c’est souvent la qualité de votre travail et de votre inves­tis­se­ment qui est récom­pensée par des succès ou un bon clas­se­ment. Il ne faut jamais perdre cela de vue. Le matin, quand je me lève, jamais je ne me dis que cela va être diffi­cile de m’entraîner, de taper dans la balle. Au contraire, c’est un vrai chemin pour mieux se connaître en tant que femme, mais aussi dépasser ses limites.